À la fin de l’année 1942, l’armée d’Hitler s’avance très loin en territoire soviétique. Son objectif principal est Stalingrad. Face à une résistance soviétique acharnée et victime d’un hiver terrible à laquelle elle n’était pas préparée, la VIᵉ armée subit de lourdes pertes. Pendant que Hitler clame victoire à la radio, ses hommes comprennent que la ville va devenir pour eux un enfer d’acier et de sang. Le film relate la bataille de Stalingrad, vue du côté allemand, en suivant le parcours au front du lieutenant Hans von Witzland et de ses hommes. L’histoire débute avec leur montée au front, puis les suit dans l’enfer des combats, où ayant perdu la moitié des hommes du peloton et après avoir été placé sous le commandement d’un capitaine sadique, le lieutenant mène ses hommes à travers les steppes gelées. Après leur encerclement par les forces soviétiques, le groupe ira des tentatives de rébellions en tentatives de désertion puis, enfin vers la mort..
La bataille de Stalingrad, qui a coûté la vie à plus d'un million de soldats allemands, russes et de civils soviétiques, a été la plus sanglante des batailles décisives de la "guerre d'extermination" déclenchée par Hitler. Ce documentaire en trois parties, qui s'appuie sur des images inédites et des déclarations brutales de survivants des deux camps, explique exactement comment la catastrophe s'est produite et décrit les conséquences effroyables de la bataille pour les soldats et les habitants de la ville..
This documentary gives very good insight in the battle of Stalingrad, the gruesome city combat and the blockade of the sixth german army. However, it is not for history buffs or strategic experts, as it focuses on personal experiences and the stories of some of the last living participants in this turning point of the second world war..
The story of the Battle of Stalingrad from the perspective of a Panzer commander and an officer in a penal battalion..
La commémoration bruyante, célébrée par les Allemands en 1993, atteint son paroxysme. Il ne s'agissait que de réconciliation entre les adversaires d'hier et de pardon réciproque. Des intentions très louables qui cachent peut-être un problème de mémoire. Et si, à trop vouloir tourner la page, les Allemands ne venaient pas à perdre la mémoire ? Si l'histoire, couverte de bruit, devenait muette ? Si les défauts étaient changés en "détails" ? Les petits-enfants des combattants réagissent devant la caméra à l'évocation de ces questions et au spectacle du vaste marché des commémorations..
Durant la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1942, Hitler envisage d'envahir Stalingrad, ville clé de l'URSS qui le sépare de la victoire totale sur l'Europe. Les Russes se préparent à la défensive. Un héros aiderait à motiver les troupes. Entre alors en jeu Vassili Zaïtsev, un jeune tireur d'élite de l'Armée rouge. Doué d'une stupéfiante adresse au tir, il est remarqué par un commissaire au peuple, Ivan Danilov. Les deux jeunes gens deviennent amis. Ranimer la flamme de l'héroïsme, redonner aux soldats décimés la force de lutter contre l'implacable machine de guerre allemande, telle est la mission de Danilov. Celui-ci fait de Vassili le héros de sa propagande. Dans le camp ennemi, l'état-major dépêche son meilleur tireur d'élite, le Major König, pour abattre celui qui est devenu le symbole de l'indomptable résistance russe..
La bataille de Stalingrad pivot Seconde Guerre mondiale est montré à travers les yeux des soldats et des officiers des deux côtés de la guerre..
Revenu en Allemagne, après les années douloureuses d'internement dans un camp russe, le docteur Böhler, au moment où il remplit la fiche d'identité que lui tendent ses hôteliers, revit pendant un long moment les souvenirs marquants de sa captivité. Les prisonniers allemands sont soumis à des travaux épuisants en forêt, bien que sous-alimentés et très sommairement logés. Les malades et les épuisés se font trop nombreux, le règlement russe n'admettant pas plus de trois pour cent de malades, et le docteur Böhler doit lutter quotidiennement avec les autorités russes pour conserver à l'infirmerie des hommes incapables du moindre travail….
Sorti quatre ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, cet épopée de propagande soviétique retrace la bataille titanesque de l'armée russe contre les envahisseurs nazis, tout en mettant en lumière le leader désormais déifié, Joseph Staline, en tant que principal responsable de la défaite allemande..
Constitué d’extraits de journaux intimes et de lettres rédigées par des habitants de la cité et des soldats des deux camps, ce documentaire bouleversant déroule le récit de la bataille de Stalingrad à travers les voix de ceux qui l’ont vécue..
Stalingrad est devenue un enfer et un paradis pour ceux qui méritaient une récompense, mais la seule qu'ils aient réussi à obtenir était l'amour. Comment ont-ils gagné, comment ont-ils vaincu, qui ils étaient et qui était de l'autre côté de la rue, quels secrets ont-ils emporté avec eux... Le film raconte cette histoire....
Le commandant Yashin est envoyé près de Minsk, où il découvre la trace de potentiels missiles au sein de la ville. Le temps presse alors pour les retrouver, d'autant que de mystérieux snipers abattent ceux qui restent à découvert....
January / February 1993 marked the 50th anniversary of the German surrender at Stalingrad. On the occasion of this anniversary, a television documentary was produced in German-Russian cooperation, which, following a classic documentary pattern, allows 6 contemporary witnesses, former opponents of the war, to recount their personal experiences in front of the camera..
Un homme est mort. Mehdi fut le parrain de la communauté des usagers du crack entre La Chapelle et Stalingrad. Alors qu’Isaïe aspire à quitter la rue pour retrouver son fils, il est rattrapé par la promesse faite un jour à Mehdi : en cas de malheur, faire revenir son corps au pays..
In the last months of 1942, only a few yards of bitterly contested ground stood between Hitler and the prize which he valued above all others - Stalingrad. The fighting for Stalingrad was intense, protracted and took place under the worst imaginable conditions, including the iron grip of a Russian Winter. After the battle the wretched survivors of a beaten German army surrendered to the Red Army. They had once been 350,000 strong but only 90,000 of these frost bitten, starving scarecrows remained to make the painful forced march into Russian captivity. In the weeks to come 85,000 of these pathetic prisoners would die from disease, starvation, brutality, neglect and despair. Only 5000 survivors from the doomed 6th Army endured the long years of captivity in slave labor camps and lived to see Germany again. This is their story..
Document essentiellement constitué d'images d'archives sur la bataille de Stalingrad dont le titre complet est "La plus grande bataille de la plus grande des guerres"..
Octobre 1942. Le général von Paulus qui commande la 6ème Armée obéit aveuglement à Hitler qui exige, coûte que coûte, qu’il tienne Stalingrad et résiste par tous les moyens à l’encerclement des troupes soviétiques. Dans les rangs allemands, les soldats privés d’armes et de vivres commencent à prendre conscience de la folie mégalomane du Führer. Parmi eux, l’aumônier Bosh, le lieutenant Wisse, le sergent Böse et le caporal Krämer redécouvrent des valeurs humaines que la guerre avait annihilées..
From Stalingrad to Jaurès was shot in the 90’s in Paris. At that time I was watching Godard films, walking, taking the Metro, looking at the Genie de la Bastille, filming a torso and eating baguette. I brought the different elements together and introduced a spinning 10 franc coin, a fall guy and a crime jazz music score. It is a return to black and white 16mm single screen film for me and also a return to the image of the male torso, that I first used in my film Claiming Territory in 1993..
