Le sergent-détective Bruce Robertson veut une promotion et son patron veut des résultats. Pas de problème pour Bruce. Quand un meurtre est perpétué, il prend le contrôle de la situation. Et quand il résoudra l'affaire, il gagnera la promotion. Mais la vie n'est pas aussi simple. Bruce est-il l'homme de la situation ? Les réponses vont être tragiques, hilarantes et outrageantes..
Félix représente mal le père Noël : il est sale, brutal, vulgaire et il boit. Fatalement, son amie Josette le quitte. Elle trouve refuge à la permanence de SOS détresse tenue par ces 2 coincés que sont Pierre et Thérèse. S'y croisent également un homosexuel dépressif, Mme Musquin, un émigré voisin et un pauvre réparateur d'ascenseur….
Dans cette petite ville du Montana, Lou Ford n'est pas un flic comme ailleurs. Il est à la fois très apprécié et parfois extrêmement violent. Il s'implique dans une affaire de pression et de chantage avec une prostituée, ce qui le mène à encore plus de violence et au crime..
La permanence téléphonique parisienne « S.O.S. Détresse‐Amitié » est perturbée le soir de Noël par l'arrivée de personnages marginaux farfelus qui provoquent des catastrophes en chaîne..
Mounir is a reserved and idle night watchman. On a very lonely night, he finds a strange manner of entering the life of Latifa, his pretty neighbour with whom he is secretly in love. The unusual means will turn him into the secret witness of Latifa's agitated life and will lead him to dangerous extremes of passion..
Pierre vit une double vie. Il est prestidigitateur dans un cabaret et indicateur de police. Un inspecteur se met en tête de briser sa carrière..
Jean-Marie Poiré tourne « Le père Noël est une ordure » au printemps 1982. Le film est tiré d'une pièce du café-théâtre « Le Splendid », dont la troupe s'est imposée au cinéma en 1978 dans « Les Bronzés ». Rapidement, « Le père Noël est une ordure » devient un classique, notamment grâce à ses dialogues et répliques. Très politiquement incorrect, le film parle sans tabou de la misère et de l'exclusion, des associations caritatives et de l'hypocrisie sociale. C'est alors l'âge d'or du café-théâtre, des petites troupes indépendantes qui manient sans réserve l'humour et la critique sociale..
Dans un quartier de Bamako, Kalifa, un jeune garçon de 9 ans est, comme sa sœur Fanta, renvoyé de l’école le jour de la rentrée scolaie parce qu’il n’a pas de banc. Leurs parenst empruntent pour acheter le banc, mais les enfants sont obligés de travailler pour aider financièrement leur famille. Leur vie est ainsi partagée entre l’école le matin et les petits boulots l’après midi..